
L'objectif est d'encourager l'usage du Wi-Fi à Paris, surtout en extérieur, afin de créer "un art de vivre autour du numérique".
Chaque hotspot est constitué de plusieurs bornes Wi-Fi , elles-mêmes connectées à l'ADSL, et le débit est partagé entre les différents utilisateurs, d'où un besoin minimum de bande passante:L'objectif est de délivrer au minimum 2 mégabits par seconde.
D'ici à la fin octobre, la mairie de Paris estime qu'elle aura équipé 264 sites. Ils correspondent en fait aux 400 bornes Wi-Fi prévues par le contrat avec SFR et Alcatel-Lucent, maîtres d'oeuvre du projet.
Un projet hors-la-loi?

constaté « une insuffisance d'initiatives privées propre à satisfaire les besoins »,
ce qui n'est manifestement pas le cas à Paris. Orange a ouvert plus de 2 250 hospost dans la capitale, mais ils sont payants...du coup "presque inutilisés" à cause des bornes wi-fi gratuites installées par la Mairie de Paris.
Pour sa part, la ville de Paris estime "avoir pris soin de respecter la réglementation en vigueur en matière de concurrence" car "les points d'accès sont uniquement localisés dans des sites municipaux et seulement actifs aux horaires de ces sites". Il ne s'agit donc pas, selon elle, "de mettre à mal le modèle économique des opérateurs".
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